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Troubles des apprentissages

Cours du 19 septembre 

Nous avons vu différents termes que je ne connaissais pas.
Les gnosies : Capacité que l’on a à reconnaître et identifier grâce à un de nos sens des images, des sons, des objets,… aidé par les organes de sens.
 - Dysgnosie : dysfonctionnement apparu au cours du développement de l’enfant.
 - Agnosie : Absence de … suite à un accident.

Les praxies : Lié au mouvement, à la gestuel. Capacité de planifier, d’exécuter une séance de mouvement.
 - Dyspraxie : dysfonctionnement dans la coordination de mouvements.
 - Apraxie : Incapacité à réaliser des mouvements sur commande.

Les phasies : Capacité langagière, d’expression et de compréhension du langage.
 - Dysphasie : Déficit du langage caractérisé par des problèmes graves d’expression et/ou de compréhension.
 - Aphasie : Perturbation du langage qui peut atteindre l’expression et/ou la compréhension suite à une lésion cérébrale, traumatique, infectieuse, …

Les mnésies : Capacité à mémoriser, à retenir, à exploiter le matériel mémorisé pour de nouvelles expériences.

Nous avons donc parlé aussi des différentes mémoires : mémoire à court terme, à long terme, de travail, épisodique, sémantique.

Ce cours était très intéressant!

Analyse réflexive sur la cours de dyscalculie 

Dans le cadre de ce cours, nous avons commencé en disant ce qu’on aimait ou pas dans les mathématiques. On s’est vite rendu compte que la plupart d’entre nous n’aimaient pas les mathématiques à cause d’un moment, d’une matière ou encore d’un professeur.

Certains disaient être nul en mathématiques mais le professeur nous a bien fait comprendre que personne n’était nul en math.
Nous avons parlé des idées véhiculées à propos des mathématiques comme l’absence de sens, le langage non compris ou encore que les maths sont abstraits.

Nous avons remarqué que la structure de notre langue est complexe mais en plus la structure orale va dans un sens et l’acte mathématique dans un autre sens.
Par exemple : ½ (un sur deux) à mais en math, on coupe en deux puis on prend un.

Pendant les différents cours, nous avons fait des activités avec des objets concrets. Nous devions faire des combinaisons de deux ou 3 objets et trouver le plus de combinaisons possibles.  
Chaque fois, nous avions le même genre d’exercices mais avec du matériels différents ou du matériels en plus. (Fruits, magic color, voiture,…)

Avec ces divers exercices, nous nous sommes rendus compte que :

  1. nous fixions souvent un invariant (pomme – fraise – prune / pomme – fraise – poire / pomme – prune – poire)

  2. nous avions plusieurs façon de réfléchir, de penser mais au final nous arrivons tous au même résultat.


Le fait de demander le plus de possibilités possibles pousse à la réflexion.
En effet, lors d’un exercice, nous avions 3 magic color et une pochette. Nous devions trouver le plus de possibilités possibles. Nous avons donc cherché toutes les manières de mettre les magic color dans la pochette, nous sommes donc arrivées à la conclusion qu’il y avait une infinité de possibilités.

La compréhension des exercices dépend de chacun. En effet, cela peut dépendre de la consigne, du matériel et du support. Ceux-ci peuvent soit induire en erreur soit aider à atteindre l’objectif.
Ce genre d’exercice permet d’apprendre à développer sa réponse et développer plusieurs stratégies.
Il est important de toujours faire verbaliser l’enfant ou l’adulte sur ce qu’il a fait.

Grâce à ces différentes activités, nous sommes arrivés au terme de la dyscalculie et nous avons vu qu’il y avait plusieurs formes de dyscalculie.

J’appréhendais ce cours car j’ai toujours eu du mal avec les maths et finalement j’ai adoré !
Le cours était, comme je l’ai dit plus haut, toujours accompagné d’activités concrètes, ce qui permet de bien visualiser ce qu’on mettait en avant comme remarques.
De plus, le professeur est toujours motivant et rassurant. Il nous enlève les mauvaises idées qu’on a des maths !
Grâce à ce cours, je me suis rendue compte qu’en faisant plusieurs manipulations, il était possible de régler certains problèmes en mathématiques et que faire verbaliser les enfants est très important.

Analyse réflexive sur le cours de dyslexie 

Selon l’Organisme Mondiale de la Santé, la dyslexie est un trouble neurobiologique spécifique de la lecture. Il s’agit d’un trouble persistant de l’acquisition du langage écrit caractérisé par de grandes difficultés dans l’acquisition et l’automatisation des mécanismes nécessaire pour la maîtrise de l’écrit.
D’après Le Ligueur, la dyslexie touche environ 10% de la population, cependant ce chiffre n’est pas précis car ce trouble n’est pas systématiquement identifié.

 

La dyslexie est donc un trouble durable du langage écrit. Celui-ci affecte la lecture, l’orthographe et l’écriture. En effet, les personnes atteintes de dyslexie auront par exemple, des difficultés à retenir l’alphabet, les jours de la semaine, à mémoriser les correspondances entre les graphèmes et les phonèmes.

Outre ces difficultés de compréhension, de lecture et d’écriture, elle entraîne également l’exclusion scolaire, la perte de confiance en soi, le repli sur soi.

Afin de lutter contre l’exclusion scolaire, Benoit Billet de Villemeur a créé la Fondation « Dyslexie » en 2008.
Celui-ci explique : « Notre objectif premier, c’est vraiment de valoriser l’estime de soi chez les dyslexiques. Plutôt que de buser un élève dyslexique en dictée en soulignant le nombre de fautes d’orthographe qu’il a faites, pourquoi ne pas le mettre en avant en le félicitant pour les erreurs qu’il n’a pas ou plus commises ?"


Ces personnes n’ont pas de retard d’acquisition, de retard mental, de problème auditif ou visuel. Ces enfants n’ont pas de mauvais contextes familiaux et ne sont pas paresseux.
Comme l’article du Ligueur dit la dyslexie n’est pas une maladie, cela ne se guérit pas. Par contre, on peut bien entendu apprendre à vivre avec. Au plus tôt on décèle le trouble, au plus vite on peut mettre des choses en place pour l’apprivoiser.

 

Béatrice Sauvageot propose un profil intéressant de l’enfant dyslexique : « Outre les difficultés à lire, les dyslexiques ont la particularité d’apprendre les règles mais de ne jamais les appliquer. Ce qui exaspère en général les parents et les professeurs, qui ont l’impression que l’enfant est paresseux, qu’il le fait exprès, ou encore qu’il est débile. Ils font des fautes qui ne sont jamais les mêmes. Ils se caractérisent aussi par leur grande lenteur : faire leurs devoirs nécessite 3 à 4 heures par jour à partir du CE1 ! La notion qu’ils ont du temps est dilatée, on dit souvent d’eux qu’il leur faut deux heures pour se préparer le matin avant de partir à l’école. Mais ce sont aussi des enfants dotés d’un sens de l’observation exceptionnel, d’une impressionnante capacité d’analyse des nuances (couleurs, odeurs, textures…), et d’un sens de l’intuition unique. »

En effet, ces enfants ont des habilités dans d’autres domaines comme artistiques, technologiques, en jeux de stratégie,…

 

Plusieurs signes peuvent nous alerter ou nous permettre d’être plus attentif. Par exemple, si il y a d’autres personnes dans la famille qui présente ce trouble, si l’enfant confond sa gauche et sa droite, si on retrouve une difficulté au niveau du rythme, s’il y a une désorganisation générale, etc.
Cela doit nous alerter mais en aucun cas nous pouvons émettre nous-même le diagnostic. Il faut donc envoyer les parents vers le PMS ou encore un neuro-pédiatre.

Il y a 2 voies possibles pour arriver à la signification des mots.
La voie d’adressage qui permet d’accéder à la signification des mots écrits. Cette voie est surtout utilisée pour identifier des mots familiers et la voie d’assemblage qui permet de lire des mots peu fréquents ou qu’on n’a jamais vu.
Il existe différentes formes de dyslexie. Celles-ci sont décrites en fonction de l’altération d’une ou 2  voies.

  •  Dyslexie phonologique

  • Dyslexie de surface

  • Dyslexie mixte

  • Dyslexie profonde

  • Dyslexie sémantique
     

Voici quelques types d’erreurs que les personnes dyslexiques peuvent faire :

  • Inversion d’une ou plusieurs lettre au sein d’un mot : la – al / fil – lif

  • Inversion de mots au sein d’une phrase : Sur le gazon joue le chien – le rus joue zagon chien

  • Confusion auditives de sons : Le jardin – le chatin / Le fil – Le vil

  • Confusion entre consonnes qui ont la même articulation : le pain – le bain / ton – don

  • Confusion entre consonnes qui partage le même lieu d’articulation : Pain – teint

  • Omission de lettres : Parents – paents

  • Substitution de mots

  • Confusion visuel de lettre (p – b – d – q ) et de sons (on – ou)
     

Quelques conseils, outils ou logiciels pour aider les personnes atteintes de dyslexie :

  • Utiliser de préférences de documents tapés avec une police plus grande (14 ou 16). N’oubliez pas d’aérer le document.

  • Laisser l’enfant dyslexique utiliser l’ordinateur en classe.

  • Les prédicteurs de mots : Cela va aider la personne à écrire un texte sur l’ordinateur. En effet, le prédicteur demande d’écrire les premières lettres du mot, ensuite il va afficher une liste de mots possible. Lorsque la personne voit le mot qu’il veut écrire dans la liste, il lui suffit de cliquer dessus.

  • Lire l’énoncé pour l’enfant et lui faire reformuler la consigne pour voir sa compréhension.

  • Utiliser des procédés mnémotechniques. 

  • ...

J'ai trouvé ce cours très intéressant. En effet, parfois nous nous rendons pas compte que ces enfants ne font pas exprès de faire ces erreurs. Il est indispensable de les valoriser au lieu de les rabaisser lorsqu'ils font des fautes.

En tant qu'institutrice primaire et future orthopédagogue, je trouve ça important de savoir le type d'erreurs que peut faire un enfant dyslexique. Il est important, selon moi, de mettre des choses en place pour les aider.

J'ai hâte d'avoir l'approfondissement de ce cours afin de recevoir plein d'idées d'outils à mettre en place.

 

Voici les articles sur lesquels je me suis basée :

 

Analyse réflexive sur le cours de la dyspraxie

La dyspraxie est un trouble neurodéveloppemental de l’apprentissage gestuel. Celui-ci affecte sa capacité à planifier, organiser et automatiser les gestes moteurs pour réaliser une action ou une activité.  
C’est donc un trouble impliquant des difficultés d’apprentissage de tâches motrices ou de gestes inhabituels.
Celui-ci perturbe l’action motrice  d’un geste intentionnel et ne peut être expliquée ni par un retard mental, ni par un déficit sensoriel, ni par un trouble psychoaffectif.

 

Les causes de ce trouble ne sont que trop peu connues. Cependant, nous pouvons distinguer les dyspraxies lésionnelles qui sont dues à des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, un avc et les dyspraxies développementales qui est là depuis la naissance, ces enfants ne développement pas correctement leurs fonctions praxiques.

Il existe différentes dyspraxies :

  • Dyspraxie constructive : Concerne les activités où l’on construit, où l’on assemble quelque chose (Lego, cube,…)

  • Dyspraxie constructive visuo-spatiale : Trouble de l’organisation spatiale et de la structuration spatiale (reproduction de dessin).
    On retrouve une dyspraxie constructive, un trouble dans l’organisation du geste, un trouble oculomoteur, un trouble de l’organisation de l’espace.

  • Dyspraxie idéatoire : Trouble de la succession chronologique des diverses étapes dans la réalisation du geste pour manipuler l’objet.

  • Dyspraxie idéomotrice : Trouble de l’organisation du geste moteur sans la manipulation réelle de l’objet (imiter, mimer,…)

  • Dyspraxie d’habillage : Difficile à agencer, orienter, disposer les vêtements lors de l’habillage.

  • Dyspraxie bucco-linguo-faciale : Difficultés à faire des gestes simples ou complexes avec les organes de la phonation et du visage (souffler, siffler, faire des bulles,…)

  • Dysgraphie dyspraxique : Trouble porté sur l’écriture.
     

Ces personnes atteintes de dyspraxie peuvent :
- avoir un retard posturo-locomoteur
- avoir un retard de coordination visuomanuelles (encastrement, graphisme, coloriage,…)
- être maladroit
-  a du mal à manger ou s’habiller seul
- Avoir leurs habilités motrices peu développés
- avoir leurs praxies manuelles souvent en échec
- être lent dans l’exécution d’actions
- avoir des difficultés dans l’écriture
- avoir l’intégation spatiale du corps parfois en échec
- avoir des difficultés dans l’orientation des objets par rapport à un plan
- avoir du mal dans l’organisation du travail
- ...

La dyspraxie provoque des difficultés scolaires qui dépendent de chacun.

La prise en charge des personnes dyspraxique doit être précoce et coordonnée entre la rééducation : ergothérapie, psychomotricité, orthoptie, et les aménagements pédagogiques au niveau scolaire.

 

La prise en charge en rééducation psychomotrice est très importante car elle va permettre à l’enfant d’intégrer son schéma corporel en faisant des exercices permettant de situer les différentes parties du corps en fonction de l’axe, des positions ou attitudes dans certaines actions. Cette prise de conscience de l’axe du corps va favoriser l’organisation spatiale par l’expérience vécue par le corps dans l’espace.

Cette prise en charge de l’enfant va évoluer en fonction de ses capacités cognitifs et langagières et de son état psychoaffectif.

En tant qu’orthopédagogue, je trouve important de connaitre ce trouble, qui touche 5 à 7 % des enfants, car si nous sommes confrontés à une personne dyspraxique, il faut qu’on sache les difficultés qu’il peut avoir et comment l’aider.

Voici ici quelques idées d’adaptations :
Au niveau de la motricité :
- Décomposer les activités proposées en tâches motrices simples.
- Lui laisser plus de temps pour les activités motrices.
- Les activités de graphismes doivent être accompagnés, par exemple proposer de repasser sur les contours.
- Verbaliser les gestes.

Au niveau de l’écriture :
- Réduire les quantités d’écrit
- Privilégier les exercices à trous
- Autoriser une écriture scripte
- Adapter le support pour écrire (incliné)
- Eviter les consignes demandant de colorier

Au niveau des mathématiques :
- Pour les activités de dénombrement, l’aider
- Barrer les objets au fur et à mesure qu’ils sont comptés
- Eviter les tableaux à double entrées
- Favoriser le calcul mental
- Fixer la feuille sur le bureau

Au niveau de la lecture :
- Proposer une présentation claire et aérée
- Augmenter la taille des caractères
- Fournir un cache pour que l’enfant suive et ne saute pas de ligne

Voici les articles sur lesquels je me suis basée

Pour aller plus loin, j'ai trouvé un court métrage qui présentait une partie des difficultés chez un dyspraxique. 

La dysphasie est définie en 1964 par Benton comme étant « un déficit spécifique du langage chez l’enfant ou trouble du développement caractérisé par des problèmes graves de la compréhension et/ou de l’expression du langage parlé en l’absence de perte auditive, de déficience mental ou de trouble émotionnel. »

La dysphasie est un trouble neurodéveloppemental. En effet, ce trouble est présent dès la naissance et persiste.

Comme le dit l’article de La libre Belgique, la dysphasie se caractérise par une atteinte prédominante de l’expression, de la compréhension ou par une atteinte mixte.
 

Il existe plusieurs classifications des types de dysphasies. Aucune dysphasie ne se ressemble et surtout un enfant peut avoir plusieurs types de dysphasie.
Voici une classification selon I. Rapin et S. Allen.

  • Dysphasie phonologico-syntaxique : Trouble de développement du langage oral qui touche l’expression. Le langage est réduit, manque de mots,  vocabulaire pauvre,…

  • Dysphasie phonologique : Trouble expressif touchant la programmation phonologique. L’expression est incompréhensible par déformation des sons, cependant la compréhension est normale. La communication orale est possible mais difficile.

  • Dysphasie par agnosie verbale : Trouble provoquant l’incapacité à reconnaitre les sons. Communication par mimiques. Production orale très réduite.

  • Dysphasie lexico-sémantique : Difficulté à trouver ses mots, ce qui engendre une difficulté expressive. Ils ont un langage spontanée mais difficulté à dénommer, commenter,…

  • Dysphasie sémantico-pragmatique : Le langage va bien mais est peu informatif. Ils ne comprennent rien et on ne les comprend pas.
     

Les enfants dysphasiques présentent des difficultés langagières mais veulent néanmoins communiquer avec leur entourage.
Voici quelques signes de la dysphasie :

- Expression pauvre, nulle ou incompréhensible
- Déficit de compréhension
- Utilisation d’expression simple
- Ce qui est oral est compliqué pour eux
- Utilisation du langage gestuel
- Vocabulaire restreint
- Difficulté à trouver le bon mot
- Construction de phrases incorrectes
- …

Ces différents signes dépendent de la personne et du type de dysphasie.

Il existe en Belgique une Association de Parents d'Enfants Aphasiques ou Dysphasiques (APEAD). On peut retrouver dans ce site des explications sur la dysphasie et la prise en charge, des informations sur la scolarité possible, ainsi que des témoignages. Ce site est très intéressant pour les parents d'enfants dysphasiques. 

 

J'ai trouvé une vidéo, faite par des étudiants Québécois pour leur cours de Neurosciences. J'ai trouvé cette vidéo très intéressante et complète. 
En effet, ils présentent ce qu'est la dysphasie. Ils précisent notamment que la dysphasie est différent d'un retard du langage. En effet, un retard du langage est transitoire et sera comblé vers 6 ans tandis que la dysphasie est un trouble qui est présent toute la vie et qui présente des difficultés langagières. 
Ensuite, dans la vidéo, ils décrivent les signes depuis la naissance ainsi que les difficultés que peuvent avoir ces enfants. Ils expliquent également les causes. 

Ce qui m'a beaucoup intéressé dans la vidéo, c'est la partie sur la prise en charge et comment aider un enfant dysphasique. 
Ils disent que la prise en charge va permettre à l'enfant de mieux comprendre ce qu'il a, d'apprendre à répondre et réagir spontanément, d'avoir une meilleure image de lui et lors de ces prises en charge, l'enfant sera valorisé. 

 

Ces étudiants nous proposent divers conseils à adopter face à ces enfants comme par exemple : 
- Utiliser des phrases courtes et simples
- Utiliser des supports visuels
- Eviter la surcharge de stimulation dans l'environnement de l'enfant. 

Ils proposent également 3 attitudes favorables au développer de l'enfant : 
1) Attendre au moins 5 secondes afin de laisser à l'enfant de comprendre et communiquer sa réponse avant de répéter l'information. 
2) Adapter son niveau de langage à celui de l'enfant. Cela va permettre de développer son langage à son rythme. 
3) Ajouter un peu d'information pour compléter le message afin d'apprendre du nouveau vocabulaire à l'enfant. 

 

Il est essentiel de répéter l'information, démontrer ce qu'on attend de l'enfant, planifier ses activités et être constant et structurer dans la routine établie. 


Je pense qu'en tant qu'orthopédagogue, il est indispensable de bien comprendre qu'une prise en charge aide favorablement l'enfant dysphasique. Cette prise en charge est pluridisciplinaire. 
Ce cours m'a beaucoup plu. Je ne connaissais pas ce trouble du langage. Je pense que beaucoup d'outils et d'adaptations peuvent être mis en place pour aider les personnes dysphasiques. 
J'attends avec impatience la suite du cours pour avoir plusieurs idées à mettre en place. 

 

Voici ci-dessous les articles, les liens que j'ai trouvé intéressant pour faire mon analyse.


 

Analyse réflexive sur le cours de dysphasie

Image trouvé sur le site "Dyscussion - Parents professeurs" 

Voici le lien d'un guide très intéressant et bien fait destiné aux parents : "Mon enfant est Dysphasique...?" 

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